Le pouvoir rend fou et le pouvoir absolu rend absolument fou.
Les attentats du 11 septembre 2001 ont marqué un tournant dans l'histoire des relations entre l'Islam et l'Occident. Ils ont déclenché un sentiment de peur et de crainte à l'égard de l'islam. À tort, car le véritable islam n'a rien à voir avec ces fous de Dieu qui massacrent et égorgent les innocents, à commencer par leurs propres frères, pas plus qu'on ne saurait résumer le
catholicisme à l'Inquisition. Et c'est un vieux briscard laïc qui parle!
Celui qui croit à une croissance exponentielle infinie dans un monde fini est soit un fou, soit un économiste.
La guerre menée par le terrorisme contre ses adversaires déclarés est tout à fait invraisemblable. Pour être crédible, cette histoire exigerait triplement et simultanément une excessive stupidité des terroristes, une incompétence extravagante des services policiers, et une folle irresponsabilité des médias. Cette invraisemblance est telle qu’il est impossible d’admettre que le
terrorisme soit réellement ce qu’il prétend être.
Le plus fou dans l'affaire Hildebrand est toutefois ce qui s'est passé autour. Différents médias ont, par des actions ciblées, fait de l'affaire Hildebrand une affaire Blocher/UDC. Un coup bas, qui visait à détourner l'attention des réels manquements. Le tout orchestré par une confrérie de magouilleurs désireux de se maintenir au pouvoir.
Le monde est profané de part et part et nos souillures, véhiculées sur les océans, abordent quelque jour les îles les plus écartées, enfin partout nos œuvres nous accueillent, les pôles menacés d'infection expient les effets de notre démesure, nous pouvons éclater, mais nous ne pouvons reculer, nous irons de l'avant et nous éclaterons, la mesure et notre idéal ne sont pas
consubstantiels, la foi chrétienne voulant trop, parce qu'elle est antiphysique et ce de Tertullien à Teilhard, aussi fous l'un que l'autre.