Le MRAP, la Licra et autres associations sont à l’affut de tout ce qui peut leur rapporter de l’argent sous couvert d’anti-racisme; ils sont eux-mêmes racistes contre tout ce qui est Français sans concession.
Heureusement que nos libertés sont restreintes! Si j’avais envie d’agresser physiquement quelqu’un, la loi me l’interdirait. Ma liberté est limitée pour le bien commun. Il devrait en être de même pour la planète : limiter la folie humaine, qui détruit la vie, serait juste et rationnel. Nous avons construit un système dans lequel le fait de privilégier la vie par rapport à
l’argent apparaît comme extrême! C’est délirant.
Figaro : Voyant à Madrid que la République des Lettres était celle des loups, toujours armés les uns contre les autres, et que, livrés au mépris où ce risible acharnement les conduit, tous les Insectes, les Moustiques, les Cousins, les Critiques, les Maringouins, les Envieux, les Feuillistes, les Libraires, les Censeurs, et tout ce qui s'attache à la peau des malheureux Gens de Lettres,
achevait de déchiqueter et sucer le peu de substance qui leur restait; fatigué d'écrire, ennuyé de moi, dégoûté des autres, abîmé de dettes et léger d'argent; à la fin, convaincu que l'utile revenu du rasoir est préférable aux vains honneurs de la plume, j'ai quitté Madrid, et, mon bagage en sautoir, parcourant philosophiquement les deux Castilles, la Manche, l'Estramadure, la
Sierra-Morena, l'Andalousie; accueilli dans une ville, emprisonné dans l'autre, et partout supérieur aux événements; loué par ceux-ci, blâmé par ceux-là; aidant au bon temps, supportant le mauvais; me moquant des sots, bravant les méchants; riant de ma misère et faisant la barbe à tout le monde; vous me voyez enfin établi dans Séville et prêt à servir de nouveau Votre Excellence en
tout ce qu'il lui plaira de m'ordonner.
Le Comte : Qui t'a donné une philosophie aussi gaie?
Figaro : L'habitude du malheur. Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer.
Un mal nécessaire n'est pas un moindre mal. Le pire des maux est celui dont on a besoin. Par exemple, l'argent.
Une récente estimation (…) évalue les actifs de la BCE entre 2700 et 3000 milliards d'euros. Les actifs comprennent l'argent qu'elle a prêté ainsi que les créances douteuses des banques et des pays membres de l'UE. Quand aux fonds propres, ils s'élèvent à 13,3 milliards. Nous avons donc une effet multiplaticatif de 203. A ce niveau-là, la BCE n'est pas une banque: c'est le plus
dangereux des hedge funds!
On ne peut avoir deux maîtres à la fois, l'argent et l'information! Ou alors on choisit un autre registre et on désinforme le public à longueur d'articles!
Qui peut croire encore réellement que l'État peut être la solution aux inégalités et délivrera les pauvres de leurs destins. L'État est un mécanisme pour assister les gens, dont les liens sociaux sont détruits par le libéralisme. L'État prend les gens au piège, les coince là où ils sont, créant et institutionnalisant la pauvreté; les taxant inutilement pour dépenser ensuite
l'argent dans des interventions inefficaces. L'État est en train de devenir totalement inefficace. Il devient un agent d'atomisation, de fragmentation, d'isolation.
Entre 1929 et 1933, deux banques américaines sur cinq firent banqueroute - 10763 banques sur 24970 disparurent. Seules les banques d'une nation européenne survécurent intactes au crash du Creditanstalt. Cette nation était l'Italie, dirigée par le dictateur fachiste Benito Mussolini. Il donna l'impression que ses institutions financières étaient fortes et sans crainte de la crise. Il
travailla sur l'émotion et la perception, comme clés de la croissance et de la récession (…) Le résultat? Si vous retiriez votre épargne dans la banque d'une nation tremblant de panique, telle que l'Autriche, l'Allemagne, l'Angleterre ou les États-Unis, vers quelle nation auriez-vous envoyé votre argent à l'abri? L'Italie.
Y a t-il un équivalent humain à ce qu'une cloche signifie une nourriture? Oui. L'or et l'argent.