L’alternative n’est pas pour lui [le FN] de s’enfermer dans le bunker des « purs et durs » ou, au contraire, de chercher à se « banaliser » ou à se « dédiaboliser » (le fait d’être diabolisé n’a pas empêché Sarkozy d’être élu, mais lui a au contraire valu des voix supplémentaires) tout en adoptant, d’élection en élection, la tactique du hamster qui tourne sans cesse
dans sa roue tout en restant sur place. L’alternative à laquelle il se trouve confronté aujourd’hui de manière aiguë est toujours la même : vouloir encore incarner la « droite de la droite » ou se radicaliser dans la défense des couches populaires pour représenter le peuple de France dans sa diversité. Rien n’indique pour l’instant qu’il choisira la deuxième solution. Il reste
au FN à apprendre comment devenir une force de transformation sociale dans laquelle puissent se reconnaître des couches populaires au statut social et professionnel précaire et au capital culturel inexistant, pour ne rien dire de ceux qui ne votent plus (entre 2002 et 2007, l’abstention est passée de 20 à 31 % en milieu ouvrier). Rien n’indique, là non plus, qu’il en ait la capacité
ni même la volonté.
[L]’œuvre de la France est une réalité et aujourd’hui, dans le chaos et la guerre civile qui déchirent et mutilent mon pays, s’impose une vérité historique que l’Occident va apprendre à ses dépens : la nécessité de la présence française. Hors cette paix que la France a maintenue pendant un siècle, le vieux fanatisme religieux de l’Islam, […], n’ouvre qu’une voie : le
retour sanglant à la féodalité.
On a laissé insulter ces soldats qui sont pourtant vos fils, Français de France, ces soldats que j’ai vu tenir les mancherons de la charrue dans les champs de nos paysans, mettre au monde des petits Musulmans, les soigner, leur apprendre à lire, à travailler.
La bonne magie m'inspire. Mais, parfois, nous apprenons plus en allant voir de mauvais spectacles de magie, parce que d'un mauvais spectacle de magie je peux apprendre ce que je ne veux pas. Vous voyez… il y a deux façons de découvrir qui vous êtes : il y a celle de la sculpture et celle de la poterie. La poterie agit positivement. Vous commencez avec une boule d'argile, vous en rajoutez,
vous la façonnez, en espérant qu'a un moment vous obtiendrez quelque chose d'une grande beauté. Ce que fait la poterie c'est de l'accumulation. La sculpture fonctionne à l'opposé. La sculpture agit négativement. je démarre avec un bloc de pierre et je commence à enlever tout ce dont je ne veux pas. et éventuellement, tel qu'on l'espère, quelque chose d'une grande beauté sera produit.
J'ai toujours trouvé que cette approche négative était plus intéressante que l'approche positive. Particulièrement lorsque l'on aborde des questions plus mystérieuses comme : « Qui suis-je? » C'est pour moi le plus grand et le plus capital de tous les mystères. « Qui suis-je? »
Il n'y a pas de vraie façon pour les femmes de vraiment en apprendre au sujet du sexe dans notre culture. …Il y a des articles au sujet du sexe dans les magazines pour femmes, mais ce n'est pas le genre de renseignements que je cherche. Il y avait un article dans Cosmopolitan au sujet de comment paraître son mieux au lit avec son amant. C'était des astuces comme si tu mets ton bras sous les
seins, ils sont plus hauts… ou si tu te couches sur le dos, tu auras le ventre plat, ou si vous faites du sexe anal, il ne voit pas ta cellulite. C'est con! Parce que je deviens si laide quand je baise, et je m'en fous, et si ça t'importe de quoi j'ai l'air quand tu me baises, tu devrais pas être en train de me baiser de toute façon!
Les garçons apprenaient à marcher, à parler, à chasser et à combattre, simplement pour apprendre à mourir sur le sable.