Karl Dietrich Bracher
Karl Dietrich Bracher

L'antifascisme n'est pas une notion scientifique. C'est un concept idéologique et politique dont l'utilité a été de sceller une alliance contre l'horreur nazie, mais qui a aussi servi à donner une définition trop restrictive de la démocratie.

Loïc Decrauze
Loïc Decrauze

De Pandora à Fontès, des spéculateurs financiers aux goinfres de l’économie dite réelle, la sinistre ritournelle n’incite pas à la mesure. Leur mettre le groin bien au fond de leur salissante démesure pour qu’ils retrouvent, peut-être, leur part d’humanité, celle qui pousse à refermer et à sceller toutes ces boîtes de Pandore.

Jacques Derrida
Jacques Derrida

Je tremble devant ce qui excède mon voir et mon savoir alors que cela me concerne jusqu’au tréfonds […] Tendu vers ce qui déjoue et le voir et le savoir, le tremblement est bien une expérience du secret ou du mystère, mais un autre secret […] vient sceller l’expérience invivable.

Dan Smith
Dan Smith

Cela ne changeait rien au fait que l’Armée rouge allait les écraser. À présent qu’elle en avait terminé avec les Blancs, elle allait reporter tout le poids de ses forces sur les rebelles, et des armées comme celle que nous observions à l’instant allaient sceller la suprématie des bolcheviks.

Les paysans libres seraient assujettis par ceux qui avaient été enrôlés, le

pays serait rouge de plus d’une façon, et les hommes de Moscou souriraient et se féliciteraient d’une révolution bien gagnée.

Julien Blondel
Julien Blondel

Je te présente le Navire des Terres et des Mers ! La légende veut qu'il soit né des mains de Straasha et de son puissant frère Grome, le Seigneur de la Terre, afin de sceller la paix après des millénaires d'une guerre fratricide... Ce navire est le symbole de leur réconciliation... Et Straasha me le confie aujourd'hui...
(Elric à Dyvim Tvar)

Lisa See
Lisa See

A cause d'une mauvaise manipulation je ne peux pas écrire ma critique donc je vais l'écrire ici.
C'est important pour moi d'en écrire une car ce roman m'a bouleversé ! Il est tout simplement sublime.
Au travers de ce livre on peut voir la condition de la femme chinoise au XIXème siècle depuis sa naissance à sa mort; en passant par le bandage des pieds, les tâches quotidiennes,

ses fiançailles, son mariage, son statut au niveau de sa nouvelle famille mais surtout sa condition en tant que Femme. On peut voir le destin d'une petite fille complètement changé grâce à sa "Laotong" qui se traduit par âme-sœur. C'est un texte dur mais aussi émouvant qui montre que le destin peut -être cruel comme bienveillant mais aussi l'importance des mots qui peut à tout jamais

sceller le destin d'une personne.
Je conseille ce livre fortement car il est prenant, réaliste, émouvant et vous transportera au delà de ce que vous pouvez imaginer.

Andy Weir
Andy Weir

La tempête s’était calmée. J’étais allongé sur le ventre et presque entièrement enseveli sous le sable. Encore groggy, je me demandai pourquoi je n’étais pas un peu plus mort que cela.
L’antenne avait traversé ma combinaison et mon flanc, mais pas mon pelvis. Il n’y avait donc qu’un seul trou dans ma tenue – plus un dans mon corps, évidemment.
Après avoir été

projeté en arrière, j’avais dégringolé une colline abrupte pour finir sur le ventre. L’antenne formait un angle assez prononcé avec mon flanc, tirant sur le matériau de la combinaison, qui émettait un léger sifflement.
J’avais beaucoup saigné et, à l’approche de la brèche, mon liquide vital s’était évaporé dans la faible pression, laissant un résidu collant. À la

longue, celui-ci avait fini par sceller le trou, à le réduire à un niveau gérable par les systèmes de la combinaison.

Jean-Philippe Toussaint
Jean-Philippe Toussaint

Était-ce la meilleure solution de voyager ensemble, si c’était pour rompre ? Dans une certaine mesure, oui, car autant la proximité nous déchirait, autant l’éloignement nous aurait rapprochés. Nous étions en effet si fragiles et désorientés affectivement que l’absence de l’autre était sans doute la seule chose qui pût encore nous rapprocher, tandis que sa présence à nos

côtés, au contraire, ne pouvait qu’accélérer le déchirement en cours et sceller notre rupture.

André Lévy
André Lévy

Ximen Qing avait constaté combien Wang la Sixième se plaisait aux jeux de l'amour. Il était résolu à lui donner la secousse de sa vie. Rentré chez lui, il avait glissé dans sa manche un sac de brocart qui contenait la panoplie complète de ses instruments : le support d'argent, un capuchon d'amour, un anneau de soufre, une ceinture de satin blanc bouillie aux aphrodisiaques, un bracelet de

jade à suspension, un onguent à " sceller le nombril " et la clochette de Birmanie.
La jeune femme se mit sur le dos, soutenue par l'oreiller, ses jambes si haut levées que dardait la languette de son clitoris. Ximen commence par lui introduire la clochette de Birmanie dans le vagin. Puis il enfile le support d'argent qui enserre la base de son membre et en couronne la tête de l'anneau

de soufre. Il enduit le nombril d'onguent. La femme de la main guide la verge à l'entrée de la vulve. Tandis qu'ils se pressent l'un contre l'autre, il en introduit peu à peu la plus grande partie.

Livre IV, Chapitre XXXVIII. + Lire la suiteCommenter  J’apprécie          10