Si Dieu est, l'homme est esclave; or l'homme peut, doit être libre, donc Dieu n'existe pas. Je défie qui que ce soit de sortir de ce cercle; et maintenant qu'on choisisse.
D’autres sont si heureux d’avoir retrouvé la parenté de l’homme avec le gorille, qu’ils voudraient le conserver toujours à l’état d’animal et se refusent à comprendre que toute sa mission historique, toute sa dignité et toute sa liberté consistent à s’en éloigner.
Il y a un principe fondamental, commun à toutes ces sectes, et sur lequel toutes leurs théories reposent. (…) Leur thème commun, c'est une explication du monde permettant d'écarter le dogme de la création et conduisant à la divinisation de l'homme. De là, le panthéisme émanatiste qui se retrouve au fond de presque tous ces systèmes.
L’empire arabe fut l’empire de la civilisation et de la beauté […] les princes de leurs royaumes ne le cédaient en rien aux barons du Nord pour la justice et la courtoisie. Tel était le royaume des forts, tel était le royaume des guerriers. En ce temps-là, les usuriers n’étaient pas les maîtres et les légistes baisaient la babouche des émirs. Chaque chose était à sa place. Et la
loi du Coran régnait qui veut qu’on écoute les sages, qu’on respecte la justice et qu’on honore ceux qui se conduisent comme des hommes pour la défense du Croissant.
Demain, si cette loi passe, il y aura sur vos papiers d'identité non-plus "sexe : homme ou femme" mais "genre", et "genre" ça sera soit "homo, hétéro, trans, bi ou autre"! On ne sait pas encore ce qu'on peut être, c'est selon véritablement son orientation sexuelle au moment où on veux bien la vivre, où on veux pas la vivre […] et ça personne ne vous l'a dit jusqu'à maintenant.
L'antiquité n'a qu'une voix sur le despotisme sans frein qu'exerçait autour d'elle cette classe d'hommes (les druides) dépositaires de tout savoir, auteurs ou interprètes de toute loi tant divine qu'humaine; rien n'échappait à leurs regards; cérémonies, sacrifices, culte public et dévotions privées, ils réglaient toutes choses avec une autorité qui ne trouvait ni résistance ni
limites.