Le mari et la femme doivent-être égaux.
Depuis qu'elle a enfourché le cheval de la bataille perdue contre le mariage gay, elle est reine d'un jour tous les jours! L'actualité contre toute attente et miraculeusement lui a mis le pied à l'étrier de la célébrité. Enfin un rôle à la mesure de la passionaria déglinguée, de la diva à la manque, de la pathétique amuseuse car elle peut tout jouer notre Hybride Fiasco! Lundi, elle
promet du sang, mardi elle verse les larmes cathodiques du désespoir, mercredi elle adresse un message d'apaisement… c'est qu'elle occupe le terrain comme une maladie infectieuse, c'est qu'elle s'accroche à son rocher notre Typhoïde Bulot!
Ecoutez, ce que j'avais dit en 98 est en train de se réaliser aujourd'hui, […] le PACS était la première marche vers le mariage homosexuel, il était tout à fait possible de rétablir l'égalité de droit vis à vis des personnes homosexuelles […] sans créer un statut particulier.
J'encourage tous les français qui se posent des questions profondes de venir manifester […contre le mariage pour tous…], qu'ils soient de droite, de gauche, qu'ils soient chrétiens ou pas chrétiens, la réalité, ce qui est en jeu, au delà effectivement, moi je ne vais pas nier que les catholiques ont joué un rôle important dans tout cela et c'est très bien, c'est notre rôle.
[…] le droit au mariage est ouvert à tout le monde (…) les homosexuels peuvent se marier naturellement mais avec une personne de l'autre sexe.
Lorsque je te conseille de ne pas te marier sans amour, cela ne veut pas dire que l'amour seul suffit… il y a bien d'autres questions à envisager. Garde ton cœur et ta main le plus longtemps possible, ne les donne pas sans réfléchir. Si tu ne trouves jamais le mari idéal, console-toi en te disant que si les joies du célibat ne sont pas nombreuses, les douleurs du moins n'en sont jamais
insupportables. Il est possible que ta vie de femme mariée soit plus heureuse que ta vie de jeune fille, mais bien souvent c'est le contraire qui se produit.
Avec un air de bonheur indicible et qui m'émeut encore, elle me retraça ces petits riens, en l'écrivant ma gorge se resserre. Il me paraît que la souffrance ne va pas si loin que la félicité parfaite et que Madame Mère éprouva la seconde en récompense de ses dispositions qui la rendaient aimable souverainement. Madame Mère fut, j'en conviens, une tourmentée, mais elle portait ses
remèdes avec elle et ses contentements avaient la force que ses peines n'avaient pas, je sens d'ailleurs que je fus l'un de ces remèdes et que mon mariage l'eût rendue inconsolable pour de bon.