Blocher est un brasseur d'hommes, capable de faire cohabiter des gens de l'économie, des libéraux, des conservateurs, des libertariens, de faire marcher tout ça ensemble en utilisant des stratégies de séduction, de marché, autour d'un produit: la suissitude.
Amoureux et jaloux de la liberté humaine, et la considérant comme la condition absolue de tout ce que nous adorons et respectons dans l’humanité, je retourne la phrase de Voltaire, et je dis : Si Dieu existait réellement, il faudrait le faire disparaître.
If there is any party in the State which, by its traditions and its history, is entitled to put in the forefront of its work and its programme the betterment of the conditions of life of the working classes, it is our party. (Hear, hear.) We were fighting the battle of the factory hand long before he had a vote; and when the Liberals were tied up in the shackles of laissez faire we were speaking
in favour of the combination of working men, long before the Liberals had thought of the subject. It is more than 50 years ago that Disraeli was calling the attention of the country to housing and health questions, and they mocked him with the policy of sewage. The sanitation, or let me say the spiritual sanitation, of our people should have the first call on the historic Tory Party. It is just in
the measure as we can convince the country, by the service we give the country, that we are as genuinely interested in these questions and as generally prepared to sacrifice ourselves in solving these questions as any member of the Labour Party, that the country will trust us and that the country will return us again into power.
La Franc-Maçonnerie a formé l'infernal dessein de corrompre insensiblement les membres de l'Église, ceux même du clergé et de la hiérarchie, en leur inoculant sous des formes spécieuses, et en apparence inoffensives, les faux principes avec lesquels elle se promet de bouleverser le monde chrétien. Voilà le premier de. ces deux faits, et l'un des bouts de la chaîne. D'autre part,
l'observateur tant soit peu attentif ne peut s'empêcher de constater que les dogmes sociaux sur lesquels nombre de catholiques et de prêtres fondent aujourd'hui la rénovation du. christianisme, ont une formule identique à celle gue la Franc-Maçonnerie se proposait de leur faire accepter, et que les procédés dont ils usent pour déterminer, entraîner l'Église à cette transformation, sont
identiquement ceux dont la Maçonnerie avait arrêté l'emploi. Voilà le second fait et l'autre bout de la chaîne. Dès lors, la connexion entre ces deux faits ne peut être l'objet d'un doute. Il y a réellement des infiltrations maçonniques dans l'Église.
Le fascisme n'a pas confiance dans le peuple […]. Le fascisme, le vrai, veut la force du peuple et le bonheur du peuple, au moins cette sorte de bonheur qui lui permet d'avoir la force, il aime le peuple, mais il n'a pas confiance en lui, il l'aime en le protégeant, il refuse de le laisser faire, il ne sait pas ou cela mène de le laisser faire et il craint que cela ne mène la plupart du temps
à quelque forme imprévue de la servitude.
Scarce had the morning starre hid from the light
Heavens crimson canopie with stars bespangled,
But I began to rue th' unhappy sight
Of that faire boy that had my hart intangled;
Cursing the time, the place, the sense, the sin;
I came, I saw, I viewd, I slipped in.
If it be sinne to love a sweet-fac'd boy,
Whose amber locks trust up in golden tramels
Dangle adowne his
lovely cheekes with joy,
When pearle and flowers his faire haire enamels;
If it be sinne to love a lovely lad,
Oh then sinne I, for whom my soule is sad.
Il y a donc toute une constellation, dont chaque point est temporellement variable, de sphères intellectuelles qui revendiquent l’impérialisme de leurs valeurs et de leurs méthodes. S’il s’agit donc de couper court à la diversité des rapports au monde, et donc au foisonnement des manières de faire fonctionner le réel, il y aura, de fait, beaucoup de déçus. Et, en termes de rapports
de force à l’échelle planétaire, je ne suis pas certain que les partisans d’un scientisme dur sortent victorieux de l’affrontement. Il me semble infiniment plus souhaitable, tant au plan logique qu’aux plans éthique et esthétique, d’accepter la réalité, au sens fort, de tous ces systèmes symboliques et cognitifs répondant à différentes contraintes. Cela, répétons-le une
dernière fois, n’empêche d’aucune manière le combat contre ceux qui nous semblent désuets, voire nuisibles.
La question de la vérité en science – et au-delà des sciences – est évidemment abyssale. Elle est outrageusement inatteignable. Elle suscite parfois crispations et exaspérations. Les avis sont souvent tranchés et rarement argumentés. Entreprendre d’y répondre, ce serait déjà faire preuve d’une arrogance présomptueuse. Mais se contenter de l’interroger conduirait sans doute à
s’enfermer dans un simple jeu rhétorique dont l’insuffisance est plus évidente encore. Sans doute faut-il donc la travailler, la mettre en situation, la déconstruire, la pousser dans ses retranchements.