Wladyslaw Szpilman
Wladyslaw Szpilman

Toute guerre fait émerger au sein des minorités nationales une fraction trop lâche pour se battre ouvertement, trop inconsistante pour jouer un quelconque rôle politique, mais assez veule pour se transformer en bourreaux stipendiés par l'une ou l'autre des puissances du conflit. Au cours de celle-ci, ce sont les fascistes ukrainiens et lituaniens qui ont occupé cette place.
Roman

Kramsztyk a été l'un des premiers à tomber sous leurs balles lorsqu'ils ont commencé à prêter la main à l'opération de juillet. Son immeuble encerclé, il n'a pas voulu descendre dans la cour au coup de sifflet, préférant mourir chez lui, entouré de ses tableaux, quand ils ont écumé les étages!
C'est aussi à ce moment que Kon et Heller, ces deux magnats juifs qui collaboraient

avec la Gestapo, ont été liquidés. Par excès de confiance ou peut-être par ladrerie, ils ne graissaient la patte qu'à l'un des deux commandants SS à Varsovie et ils ont eu la malchance d'être capturés par les hommes placés sous les ordres de l'autre. Les autorisations de complaisance que Kon et Heller leurs ont présentées n'ont fait qu'exciter encore plus leur haine puisqu'elles

avaient été émises par l'unité SS rivale. Non contents de les abattre comme des chiens, ils ont fait venir deux tombereaux aux ordures et c'est ainsi, au milieu des immondices, que les deux nababs ont accompli leur dernier voyage jusqu'à la fosse commune.


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Seth Greenland
Seth Greenland

Des nababs du rap, des rois de la pop, qui déversent leur marchandise dans des millions d’oreilles, se renvoient du « nègre » comme un ballon de plage. Jay ne comprend pas. Mais en tant que Blanc, il n’est pas autorisé à avoir un avis sur la question.

Fawzia Zouari
Fawzia Zouari

"Il y a des jours où je regrette d’être née arabe. Les jours où je me réveille devant le spectacle de gueules hirsutes prêtes à massacrer au nom d’Allah et où je m’endors avec le bruit des explosions diffusées sur fond de versets coraniques.
— Les jours où je regarde les cadavres joncher les rues de Bagdad ou de Beyrouth par

la faute des kamikazes ; Où des cheikhs manchots et aveugles s’arrogent le droit d’émettre des fatwas parce qu’ils sont pleins comme des outres de haine et de sang ; où je vois des petites filles, les unes courir protéger de leur corps leur mère qu’on lapide, et les autres revêtir la robe de mariée à l’âge de 9 ans.
— Et puis

ces jours où j’entends des mamans chrétiennes confier en sanglotant que leur progéniture convertie à l’islam refuse de les toucher sous prétexte qu’elles sont impures.
— Quand j’entends pleurer ce père musulman parce qu’il ne sait pas pourquoi son garçon est allé se faire tuer en Syrie. — À l’heure où celui-ci parade

dans les faubourgs d’Alep, kalachnikov en bandoulière, en attendant de se repaître d’une gamine venue de labanlieue de Tunis ou de Londres, à qui l’on a fait croire que le viol est un laissez-passer pour le paradis.
— Ces jours où je vois les Bill Gates dépenser leur argent pour les petits Africains et les François Pinault pour les artistes de leur

continent, tandis que les cheikhs du Golfe dilapident leur fortune dans les casinos et les maisons de charme (bordels) et qu’il ne vient pas à l’idée des nababs du Maghreb de penser au chômeur qui crève la faim, au poète qui vit en clandestin, à l’artiste qui n’a pas de quoi s’acheter un pinceau.
— Et tous ces croyants qui se prennent pour les

inventeurs de la poudre alors qu’ils ne savent pas nouer une cravate, et je ne parle pas de leur incapacité à fabriquer une tablette ou une voiture.
Les mêmes qui dénombrent les miracles de la science dans le Coran et sont dénués du plus petit savoir capable de faire reculer les maladies.
— Ces prêcheurs pleins d’arrogance qui vomissent

l'Occident, bien qu’ils ne puissent se passer de ses portables, de ses médicaments, de ses progrès en tous genres.
— Et la cacophonie de ces "révolutions" qui tombent entre des mains obscurantistes comme le fruit de l’arbre.
— Ces islamistes qui parlent de démocratie et n’en croient pas un mot, qui clament le respect des femmes et les traitent en

esclaves. — Et ces gourdes qui se voilent et se courbent au lieu de flairer le piège, qui revendiquent le statut de coépouse, de complémentaire, de moins que rien !
— Et ces "niqabées" qui, en Europe, prennent un malin plaisir à choquer le bon Gaulois ou le bon Belge comme si c’était une prouesse de sortir en scaphandrier ! Comme si c’était

une manière de grandir l’islam que de le présenter dans ses atours les plus rétrogrades.
Ces jours, enfin, où je cherche le salut et ne le trouve nulle part, même pas auprès d’une élite intellectuelle arabe qui sévit sur les antennes et ignore le terrain, qui vitupère le jour et finit dans les bars la nuit, qui parle principes et se

vend pour une poignée de dollars, qui fait du bruit et qui ne sert à rien !
Voilà, c’était mon quart d’heure de colère contre les miens...
Souhaitons que l'Occident ouvre les yeux...." + Lire la suiteCommenter  J’apprécie          41

Fawzia Zouari
Fawzia Zouari

Jour de colère ... http://www.jeuneafrique.com/133421/politique/jour-de-col-re/

Il y a des jours où je regrette d’être née arabe. Les jours où je me réveille devant le spectacle de gueules hirsutes prêtes à massacrer au nom d’Allah et où je m’endors avec le bruit des explosions diffusées sur fond de versets coraniques. Les jours où je regarde les cadavres joncher les

rues de Bagdad ou de Beyrouth par la faute des kamikazes ; où des cheikhs manchots et aveugles s’arrogent le droit d’émettre des fatwas parce qu’ils sont pleins comme des outres de haine et de sang ; où je vois des petites filles, les unes courir protéger de leur corps leur mère qu’on lapide, et les autres revêtir la robe de mariée à l’âge de 9 ans.

Et puis ces jours

où j’entends des mamans chrétiennes confier en sanglotant que leur progéniture convertie à l’islam refuse de les toucher sous prétexte qu’elles sont impures. Quand j’entends pleurer ce père musulman parce qu’il ne sait pas pourquoi son garçon est allé se faire tuer en Syrie. À l’heure où celui-ci parade dans les faubourgs d’Alep, kalachnikov en bandoulière, en attendant de

se repaître d’une gamine venue de la banlieue de Tunis ou de Londres, à qui l’on a fait croire que le viol est un laissez-passer pour le paradis.

Ces jours où je vois les Bill Gates dépenser leur argent pour les petits Africains et les François Pinault pour les artistes de leur continent, tandis que les cheikhs du Golfe dilapident leur fortune dans les casinos et les maisons

de charme et qu’il ne vient pas à l’idée des nababs du Maghreb de penser au chômeur qui crève la faim, au poète qui vit en clandestin, à l’artiste qui n’a pas de quoi s’acheter un pinceau. Et tous ces croyants qui se prennent pour les inventeurs de la poudre alors qu’ils ne savent pas nouer une cravate, et je ne parle pas de leur incapacité à fabriquer une tablette ou une

voiture. Les mêmes qui dénombrent les miracles de la science dans le Coran et sont dénués du plus petit savoir capable de faire reculer les maladies. Non ! L’Occident, ces prêcheurs pleins d’arrogance le vomissent, bien qu’ils ne puissent se passer de ses portables, de ses médicaments, de ses progrès en tous genres.

Et la cacophonie de ces "révolutions" qui tombent entre

des mains obscurantistes comme le fruit de l’arbre. Ces islamistes qui parlent de démocratie et n’en croient pas un mot, qui clament le respect des femmes et les traitent en esclaves. Et ces gourdes qui se voilent et se courbent au lieu de flairer le piège, qui revendiquent le statut de coépouse, de complémentaire, de moins que rien ! Et ces "niqabées" qui, en Europe, prennent un malin

plaisir à choquer le bon Gaulois ou le bon Belge comme si c’était une prouesse de sortir en scaphandrier ! Comme si c’était une manière de grandir l’islam que de le présenter dans ses atours les plus rétrogrades.

Ces jours, enfin, où je cherche le salut et ne le trouve nulle part, même pas auprès d’une élite intellectuelle arabe qui sévit sur les antennes et ignore

le terrain, qui vitupère le jour et finit dans les bars la nuit, qui parle principes et se vend pour une poignée de dollars, qui fait du bruit et qui ne sert à rien !
Voilà, c’était mon quart d’heure de colère contre les miens. Ouf ! + Lire la suiteCommenter  J’apprécie          20

Alexandra Lapierre
Alexandra Lapierre

Vous, les Russes, n'êtes pas des insulaires comme les Anglais, ni des bourgeois comme nos Français d'aujourd'hui. Ni des impérialistes, comme ces fichus Allemands. Vous n'avez pas non plus l'ostentation des nababs américains. Et cependant vous êtes tous beaucoup plus riches que les Rockefeller et les Astor ! Vous seuls avez su développer cet art de vivre. Et vous avez su le développer à

un degré de sophistication qu'aucune autre société au monde, dans toute l'Histoire, n'a jamais réussi à atteindre.

John La Galite
John La Galite

Je suis trop vieille pour trouver un mari, la vie manque de charme, et je bois, répondit-elle. Mais toi ? Pourquoi n’épouses-tu pas un de ces nababs qui te tournent autour ?